• Le Margay

     

    Classe : Mammifères<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Ordre : Carnivores<o:p></o:p>

    Famille : Félidés<o:p></o:p>

    Genre : Leopardus<o:p></o:p>

    Nom scientifique : Leopardus wiedi<o:p></o:p>

    Noms locaux : Margay, Tigrillo, Kuichua<o:p></o:p>

    Espérance de vie : de 12 à 15 ans <o:p></o:p>

    Taille du corps : 45 à 80 cm. Le mâle est légèrement plus grand que la femelle.
    Taille de la queue : jusqu’à 50 cm
    Poids : Le poids moyen est de l'ordre de 2 à 4 kg.<o:p></o:p>

    Description

    Son pelage le fait énormément ressembler à l'Ocelot et au Chat tigre. Une règle est à retenir pour l'identification, c'est que la queue d'un Margay est toujours plus longue que celle d'un chat tigre ou d'un Ocelot. Elle représente 70 % de la longueur tête et corps chez l'animal. <o:p></o:p>

    Son pelage est court et doux, de couleur brun-jaune, devient blanc sur le ventre, la poitrine et la nuque. Des marques foncées, semblables à celles de l'ocelot, rehaussent le dos et les flancs, tandis que la queue est annelée. Le dessus des oreilles, noir, présente des taches claires.<o:p></o:p>

    Les Margays sont des petits félins très arboricoles et toujours vus au plus profond de la forêt. Anatomiquement adaptés à la vie dans les arbres, ils chassent aussi au sol. Les chasses sont en nocturne et l'amènent à consommer des rongeurs, oiseaux, reptiles et insectes.<o:p></o:p>

    L'une de ses caractéristiques physiques particulières réside dans son extrême souplesse, liée intrinsèquement à son comportement arboricole. Par exemple, ses pattes postérieures peuvent pivoter jusqu'à près de 180°, lui permettant de descendre d'un arbre ou d'une branche la tête la première sans bondir.<o:p></o:p>

    Statut et conservation<o:p></o:p>

    Principalement menacé par le braconnage et le trafic de fourrure, le margay n'est cependant pas référencé par l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature et de ses ressources) car trop méconnu.<o:p></o:p>

    Les quelques mesures prises n'ont permis que de réduire le nombre d'individus chassés ou vendus comme animaux de compagnie exotiques, mais le trafic illégal subsiste et de nombreux margays sont encore tués.<o:p></o:p>

    Malgré cette relative protection de l'espèce sur son aire de répartition, il est à noter que ces mesures ne sont que très récentes voire tardives dans de nombreux états.


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  • ocelot <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Classe : Mammifères
    Ordre : carnivore
    Famille : félidés.
    Genre et espèce : félis pardolis
    Longévité : 17 ans en captivité, environ 7 ans dans la nature
    Couleurs : varient du jaune orangé au gris selon le biotope ; ventre blanc tacheté, queue annelée
    Longueur du corps : 65 à 97 cm
    Longueur de la queue : 27 - 40 cm
    Poids : 11 - 16 kg <o:p></o:p>

    ocelot (Leopardus pardalis ou anciennement Felis pardalis) est un chat sauvage qui vit en Amérique du Sud et en Amérique centrale. On le rencontre aussi dans le sud-est du Texas, aux États-Unis. Il vit dans différents biotopes : marais, palétuviers, prairies, buissons, forêts tropicales. Il chasse la nuit au sol et parfois dans les arbres. Le mot ocelot est d'origine nahuatl.<o:p></o:p>

    Description <o:p></o:p>

    L'ocelot est un animal assez petit, le mâle pèse entre 9 et 13 kg environ et mesure de 85 à 100 cm de la tête à la queue. La femelle est plus petite. Sa fourrure ocellée lui permet de se fondre dans l'environnement de la forêt.<o:p></o:p>

    Reproduction <o:p></o:p>

    Après une gestation de 80 jours, la femelle a une portée de un à quatre petits. Les petits sont dépendants de leur mère pendant 5 à 6 mois et ne quittent le territoire de celle-ci qu'à leur 2 ans. Leur difficulté à trouver de la nourriture explique peut-être pourquoi les ocelots ne donnent qu'un ou deux petits. Les jeunes ocelots grandissent moins rapidement que les autres félins.<o:p></o:p>

    Nourriture <o:p></o:p>

    L'ocelot est carnivore, ses proies favorites sont les rongeurs comme les rats, les souris et les agoutis. Mais son régime alimentaire comprend aussi des oiseaux, des serpents, des poissons, des lézards ou des crabes terrestres.<o:p></o:p>

    La chasse <o:p></o:p>

    L'ocelot chasse au sol même s'il vit généralement dans les arbres la journée. Il chasse normalement pendant la nuit mais la chasse peut se poursuivre le matin surtout s'il pleut ou qu'il y a des nuages.  L'odorat de l'ocelot est très développé, mais il compte d'avantage sur l'ouïe et ses yeux pour trouver ses proies dans ses expéditions nocturnes. Les petits félins ont une ouïe plus développée que les gros et savent mieux repérer les couinements aigus d'une proie. Les moustaches jouent également un rôle important à la chasse. Elles sont si sensibles qu'elles permettent au félin de se déplacer dans les espaces réduits. Son régime alimentaire comprend lièvres, souris, singes et oiseaux. En fait l'ocelot mange tout ce qu'il peut tuer. S'il passe beaucoup de temps dans les arbres, il chasse toujours au sol, marchant légèrement sur les orteils. Lorsqu'il a repéré sa proie, l'ocelot s'aplatit sur le ventre. Il rampe d'abord patiemment puis se précipite en avant et poursuit sa proie sur une courte distance, avant de rebondir et de l'attraper dans ses griffes. C'est en lacérant les troncs que l'ocelot maintient ses griffes bien acérées. La proie est rapidement mise à mort par une morsure au cou. Les petites proies sont dévorées par la tête, mais les plus grosses attaquées par une partie plus molle. Lorsque les ocelots chassent en couple, ils communiquent leur position par des cris. <o:p></o:p>

    Une espèce en danger <o:p></o:p>

    On estime la population d'ocelots de 800 000 à 1 500 000, mais c'est une espèce chassée pour sa belle fourrure.

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  • JAGUARONDI<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Classe : Mammifères
    Ordre : Carnivores
    Famille : Félidés
    Nom scientifique :
    Herpailurus yaguarondi
    Noms communs :
    gato lagarto, gato moro, gato nutria (chat loutre), onza o gato eyrá
    Espérance de vie : jusqu’à huit ans
    Longueur de corps : 55-77 cm
    Queue : 33-60 cm
    Hauteur : 35-40 cm
    Poids : 4,5-10 kg<o:p></o:p>

    Herpailurus yaguarondi est la seule espèce du genre Herpailurus. Le Jaguarondi (Herpailurus yaguarondi) encore appelé eyra ou chat loutre est un petit félin d'Amérique tropicale à la robe noire, marron, grise ou beige. C'est d'ailleurs l'unique félin possédant une robe totalement unie, même à la naissance. Bien qu'il soit classé parmi les félins, son allure rappelle celle des mustélidés. Ce félidé a des pattes très courtes (30 à 40 cm de hauteur au garrot).<o:p></o:p>

    Caractères distinctifs : <o:p></o:p>

    Sa tête est petite et aplatie, avec de petites oreilles assez basses et de grands yeux assurant une excellente vision. Le corps est effilé, bas sur pattes, avec une longue queue préhensile épaisse. Sa silhouette profilée en fait un animal agile, capable de se déplacer très rapidement. La robe est jaunâtre, gris foncé ou brun-roux, pouvant se modifier avec l'âge. La fourrure est courte et dense, avec des aspects poivre et sel. <o:p></o:p>

    Alimentation et chasse : <o:p></o:p>

    Le jaguarondi consacre la plus grande partie de son existence active à chasser. Il se nourrit de petits mammifères tels que les opossums, les cobayes, les agoutis, les lapins et les souris, mais également de poissons, de grenouilles, de serpents et de lézards ainsi que de fruits. Capable de déplacements très rapides, le jaguarondi capture son gibier plutôt en le forçant à la course qu'en l'approchant silencieusement. Très tenace, il lui arrive de poursuivre une proie sur plus d'un kilomètre de distance, à une allure étonnamment rapide pour ses courtes pattes. Celles-ci lui permettent d'ailleurs de se faufiler sans difficulté dans les fourrés les plus denses sans s'y prendre les pattes et de grimper aux arbres avec aisance, l’abaissement de son centre de gravité lui assurant une remarquable stabilité. Le jaguarondi fuit généralement le voisinage des hommes dont il a appris à se méfier. Mais il peut lui arriver de s'approcher d'un village pour s'en prendre aux volailles, ce qui lui vaut une très mauvaise réputation auprès des populations locales.<o:p></o:p>

    Reproduction : <o:p></o:p>

    Le jaguarondi est le seul félidé à vivre en couple. Des félidés, seuls les lions ont une vie réellement de clan. Les deux parents jaguarondi élèvent donc leurs bébés, facilitant ainsi leurs chances de survie et communiquent entre eux à l'aide d'un langage vocal d'une inhabituelle complexité. Généralement, deux ou trois petits naissent au bout de 2 mois et demi de gestation puis deviendront indépendants vers l'âge d'un an. Le jaguarondi s'accouple deux fois par an, à n'importe quel moment dans les régions tropicales et généralement en Mars et en Août-Septembre plus au sud ou plus au nord. Avec deux portées par an, les jeunes sont ainsi suffisamment nombreux, malgré une mortalité importante, pour assurer le renouvellement de l'espèce. La femelle donne naissance à deux ou trois petits dans un abri bien dissimulé sous un tronc abattu, dans un épais fourré ou au creux d'un arbre. Les jeunes d'une même portée peuvent être de différentes couleurs, mais tous présentant des tâches et des rayures claires qui s'estompent au cours de leur croissance. Nés aveugles, leurs yeux s'ouvrent en cinq ou six jours pendant lesquels leur mère ne les quitte pas, jusqu'à ce que la faim l'incite à partir chasser. <o:p></o:p>

    Habitat et Comportement : <o:p></o:p>

    Depuis le sud des Etats Unis jusqu'en Argentine, le jaguarondi est répandu dans les régions où domine une végétation de feuillage dense, ainsi que dans certaines zones plus arides couvertes de plantes épineuse. Fréquentant de préférence, les endroits où les points d'eau sont abondants, c'est un excellent nageur. Le jaguarondi est surtout actif le matin et dans la soirée où il se déplace constamment le plus souvent au sol, mais aussi dans les arbres en cas de nécessité. Il se délimite un territoire, mais aux contours relativement peu précis. Cantonné à l'origine au coeur des forêts tropicales, le jaguarondi est aujourd'hui fde plus en plus présent dans les formations plus clairsemées situées en bordure des taillis des clairières. On ne sait si cela est dû au déboisement qui le chasse de son habitat traditionnel ou à l'attrait qu'exercent sur lui les possibilités alimentaires offertes par les établissements humains.<o:p></o:p>


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  • Classification <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Classe : Mammifères
    Ordre : Carnivores
    Famille : Félidés

    Nom scientifique : Felis silvestris silvestris 
    Noms communs : Chat forestier - Chat sylvestre - Chat sauvage<o:p></o:p>

    Espérance de vie : de 12 à 15 ans <o:p></o:p>

    Taille du corps : 51 à 60 cm. Le mâle est légèrement plus grand que la femelle.
    Taille de la queue : 28 à 32 cm
    Poids : Le poids moyen est de l'ordre de 5 kg pour un mâle et de 3,5 kg pour une femelle. Ce dernier est soumis à de fortes variations saisonnières.<o:p></o:p>

    Description <o:p></o:p>

    Carnivore sauvage de taille moyenne, le Chat forestier est une espèce méconnue, du fait de sa discrétion et de sa ressemblance avec certains chats domestiques, c'est une espèce autochtone qui a toujours existé en Europe. <o:p></o:p>

    Le pelage du Chat sylvestre varie du gris au fauve clair avec des rayures latérales noires peu marquées. On l'identifie grâce à certains critères morphologiques : une queue épaisse, touffue, marquée d'anneaux noirs et terminée par un manchon noir ; une bande dorsale noire unique et bien visible qui débute derrière la nuque et s'arrête à la base de la queue ; des raies foncées sur chaque pattes ; une bavette blanche sous la gorge.Le crâne plus large, les membres postérieurs plus robustes et la fourrure plus épaisse donne une allure plus trapue au chat forestier qu'au Chat domestique.<o:p></o:p>

    Régime alimentaire <o:p></o:p>

    Le chat forestier est un véritable spécialiste de la chasse aux rongeurs. Ces derniers constituent sa principale source de nourriture avec près de 90 % des proies ingérées (Campagnols des champs, Mulots, Campagnols terrestres, Campagnols roussâtres, Loirs...). Mais il peut également se nourrir d'oiseaux, de batraciens, d'insectes, de lièvres et de lapins. Il chasse toujours au sol dans les milieux forestiers et parfois dans les zones plus ouvertes telle que des champs.<o:p></o:p>

    C'est un animal principalement crépusculaire et nocturne. Il peut également être actif le jour dans les zones tranquilles et non fréquentées par l'homme. <o:p></o:p>

    Reproduction  <o:p></o:p>

    La reproduction du Chat forestier est encore mal connue. On sait cependant que les accouplements ont lieu de la mi-janvier à la fin février et que la gestation dure 56 à 69 jours. <o:p></o:p>

    La femelle, qui n'a qu'une portée par an, met bas 3 à 4 petits qu'elle élèvera seule dans un endroit caché, abrité de l'humidité et des intempéries. <o:p></o:p>

    Répartition géographique  <o:p></o:p>

    En Europe, l'aire de répartition du Chat forestier est vaste mais morcelée. Cette répartition fragmentée fait suite aux changements climatiques, à la destruction de son habitat et à la pression de chasse trop forte. Il semblerait cependant que son aire de répartition continue à s'étendre lentement dans certains pays.<o:p></o:p>

    En France, le Chat sylvestre est essentiellement présent dans les Pyrénées et dans les départements du Nord-Est : Lorraine, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, région Centre. Ces dernières hébergent d'ailleurs les plus belles populations d'Europe.<o:p></o:p>

    Statut <o:p></o:p>

    Le Chat forestier est totalement protégé. Au niveau mondial, il est inscrit en annexe II de la Convention de Washington.<o:p></o:p>

    Au niveau européen, il figure en annexe II de la Convention de Berne et en annexe IV de la directive Habitats Faune Flore.<o:p></o:p>

    Au niveau national, le Chat sauvage est strictement protégé par l’Arrêté national modifié du 10/10/96.<o:p></o:p>

    Menaces <o:p></o:p>

    Plusieurs facteurs ont été ou sont toujours la cause du déclin de cette espèce mystérieuse :<o:p></o:p>

    • le piégeage et la chasse qui sont pourtant interdits depuis 1973. Le braconnage constitue certainement la principale menace car le Chat sauvage est confondu avec le Chat haret. Le piégeage par piège non séléctif est susceptible de représenter une menace sérieuse également.<o:p></o:p>

    • Le trafic routier qui constitue un risque important pour l'espèce.<o:p></o:p>

    • La modification de l'habitat et la diminution des superficies forestières, des lisières et des haies. Ce phénomène s'est accru au 20ième siècle suite, entre autre, à la plantation de résineux et à la modification des pratiques sylvicoles et agricoles. Cela a eu pour effet d'entraîner une diminution des gîtes potentiels et de nourriture disponible, mais aussi de supprimer les voies de communication entre les différents massifs forestiers.<o:p></o:p>

    • L’hybridation entre les Chats sauvages et les chats domestiques semble relativement fréquente mais ce phénomène est encore mal connu et des études génétiques seront nécessaires pour en mesurer l'ampleur.

     


     


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  • Nom latin :                        Felis thinobia<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Classe :                             Mammifères<o:p></o:p>

    Ordre :                              Carnivores<o:p></o:p>

    Famille :                            Félidés<o:p></o:p>

    Taille :                               Corps : 45-55 cm de longueur 
    Queue :                              27-34 cm de longueur<o:p></o:p>

    Poids :                                De 2 à 3,5 kg. 
    Mâles :                               3,5 kg au maximum 
    Femelle :                             3,1 kg au maximum<o:p></o:p>

    Habitat :                             Terrains durs entre les dunes de sables du désert. <o:p></o:p>

    Régime alimentaire Carnivore : mange surtout des rongeurs, mais aussi des lézards et d'autres petites proies.<o:p></o:p>

    Reproduction :                 Vivipare<o:p></o:p>

    Nombre de jeunes :         Entre 2 et 4 jeunes par portée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le chat des sables est un tout petit félin, de la taille d'un chat domestique. C'est un animal très bien adapté à la vie du désert. Il peut ne pas du tout boire et se contenter seulement d'absorber l'eau des proies qu'il mange. Sa couleur sable lui permet de passer inaperçu. Ses grandes oreilles, très perfectionnées, sont situées sur les côtés de la tête et lui permettent de détecter le moindre mouvement des rares proies qui l'entourent. Le chat de sables est une espèce menacée. <o:p></o:p>

    Il ne chasse d'ailleurs que dans la fraîcheur de la nuit, le reste de la journée, il se terre dans son terrier. Grace à son ouïe hyper développée, il peut entendre ses proies enterrées dans le sol et les débusquer en grattant le sable. De plus son pelage couleur sable lui confère un camouflage non négligeable pour la chasse et très épais pour lutter contre les températures extrêmes (froid la nuit et chaud le jour).<o:p></o:p>

    Le Chat des Sables est un félin solitaire hormis pendant les périodes de reproduction, qui se situent aux alentours de janvier. La gestation durant deux mois, la plupart des jeunes naissent entre mars et avril. Les portées sont en moyenne composées de 3 à 5 chatons. Il est à maturité sexuelle à partir de 9 mois.<o:p></o:p>

    C'est malheureusement une espèce de plus en plus menacée, qui diminue d'année en année<o:p></o:p>


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